jeudi 12 juillet 2012
lundi 4 juin 2012
dimanche 6 mai 2012
La belle et sublime Rosine tama nouvelle artiste congolaise
19 ans, la fille de notre frère Tito tama ne compte pas rester dans l'ombre de ce dernier. Elle qui a débuté sa carrière d'actrice y a déjà 2 ans mais qui s’annonçait difficile suite au tournages à l’étranger, étant donné qu'elle vit en Suisse, qu'elle est encore étudiante et ne tient absolument pas à abandonner ses études, néanmoins elle chaume pas, elle a décideé de se lancer dans une carrière musicale et compte même sortir un single très prochainment.
Modeste Mutinga cloue le bec à Zacharie Bababaswe


Ne jurant que par ses soutiens au PPRD, Zacharie Bababaswe veut ignorer la HAM. Pour Mutinga cette affaire est une occasion pour lui d'affirmer son autorité et crédibiliser sa HAM que l'on sait totalement dépassée par le contexte politique et réduite à jouer le rôle d'arbitre dans un match où tous les joueurs n'obéissent pas au même règlement.
jeudi 3 mai 2012
In memoriam : Abeti Masikini, 14 ans déjà
Mardi 30 Septembre 2008 - 22:48

Mardi 30 Septembre 2008 - 22:48
RDC,(Digitalcongo)-Avec le concours de son propre orchestre baptisé « Les Redoutables », la tantine aux griffes d’or a été la première chanteuse du continent à affronter le public hétérogène du Zénith.

La chanteuse Abeti Masikini
Le mercredi 28 septembre 1994, celle que le monde artistique congolais appelait affectueusement « Tantine aux griffes d’or » est décédée à l’hôpital Villejuif, une banlieue parisienne des suites d’un cancer de l’utérus. Hier dimanche 28 septembre 2008, elle a totalisé 14 ans dans l’au-delà. Décédée en Europe, son corps avait été rapatrié à Kinshasa le dimanche 9 octobre 1994 où les honneurs dignes de son rang lui avaient été réservés par ses nombreux fans en la salle du Zoo. C’est le lundi 10 octobre 1994 qu’elle avait été conduite à sa dernière demeure au cimetière de la Gombe. Née à Kisangani dans la province orientale le 9 novembre 1952, de Finant Jean Pierre, son père et Masikini Marie, sa mère, Finant Albertine, connue sous le nom d’Abeti Masikini était la 3è enfant d’une famille qui en comptait 7 dont 6 filles et 1 garçon, le virtuose Bumba Masikini qui avait cessé avec la guitare suite à la mort de sa sœur bien aimée.
Au terme de ses études primaires qu’elle avait du reste bouclé avec distinction, Abeti Masikini avait été orientée vers le secrétariat de direction qui l’avait sanctionnée par un diplôme. Engagée comme secrétaire au Ministère de la Culture et des Arts, c’est avec brio qu’elle avait assumé ses fonctions à l’entière satisfaction de ses chefs hiérarchiques dont le Ministre Paul Mushiete.
C’est à l’issue d’un concours « Jeunes talents » organisé en 1972-1 au parc de la Révolution actuel jardin botanique, par l’artiste musicien Gérard Madiata. Elle n’avait que 19 ans.Un manager de nationalité togolaise, de renommée internationale se pointera à Kinshasa pour la prendre en charge.
Il s’agit de Gerard Akueson qui, sous le coup, deviendra son mari. C’était une entrée fulgurante pour la jeune Abeti Masikini dans le royaume d’Orphée où elle allait imposer un style et créer un mythe au tour de son nom. Et plusieurs titres vont auréoler le cheminement artistique de cette chanteuse à la voix mélancolique à commencer par « Miwela », sa première œuvre sortie sur le marché en version 45 tours et qui sera suivie de « Likayabu », « Kizunguzungu » fête des jumeaux , « Abeti Visage » « Komboso », « Bifamuri ». En version long play, elle produira les albums « Sens unique », « Chéri Bade », « Je suis fâchée » qui lui ont permis de décrocher « Bébé Matoko » lancé dans les bacs en 1991.
Avec le concours de son propre orchestre baptisé « Les Redoutables », la tantine aux griffes d’or a été la première chanteuse du continent à affronter le 24 septembre 1988 le public hétérogène du Zénith à Paris sans oublier ses trois passages parisiens à l’Olympia.
Elle était la première chanteuse africaine à se produire de l’autre coté de l’Atlantique au « Carnegie Hall » de New York aux Etas-Unis.
A son actif on retiendra aussi une production du tonnerre qu’elle avait livrée en 1990 à Beijing en Chine. A l’occasion, il y a même une chanteuse chinoise qui, à ce jour, évolue sous le pseudonyme d’Abeti Masikini.
Toutefois, nous ne manquerons pas de signaler que c’était le 15 décembre 1990 que la compositrice de « Likayabu » avait livré son dernier concert devant une foule immense de kinois dans la salle des congrès du Palais du Peuple.
Mariée à Gérard Akueson comme nous l’avons dit tout au début, Abeti Masikini était mère de 4 enfants : Yolande Kiki Masikini, Bade Akueson, Saba Akueson et Germaine Masikini, sa fille adoptive. Cependant comme l’artiste ne meurt jamais et qu’on l’immortalise à travers ses œuvres, Tantine Abeti Masikini demeurera à jamais vivante parmi nous.
A l’instar de nombreuses chanteuses africaines dont la gabonaise Patience Dabani et la congolaise Mamu Nationale Tshala Mwana pour ne citer que celle-là, le continent continue à pérenniser le rythme chaud du groupe « Les redoutables » de la tantine aux griffes d’or.
Cela se manifeste à travers le tempo de leur rubrique. En cette journée de souvenir, nous ne pouvons que demander à l’Eternel de prêter une douce vie à Abeti Masikini dans le Royaume des Cieux.
Au terme de ses études primaires qu’elle avait du reste bouclé avec distinction, Abeti Masikini avait été orientée vers le secrétariat de direction qui l’avait sanctionnée par un diplôme. Engagée comme secrétaire au Ministère de la Culture et des Arts, c’est avec brio qu’elle avait assumé ses fonctions à l’entière satisfaction de ses chefs hiérarchiques dont le Ministre Paul Mushiete.
C’est à l’issue d’un concours « Jeunes talents » organisé en 1972-1 au parc de la Révolution actuel jardin botanique, par l’artiste musicien Gérard Madiata. Elle n’avait que 19 ans.Un manager de nationalité togolaise, de renommée internationale se pointera à Kinshasa pour la prendre en charge.
Il s’agit de Gerard Akueson qui, sous le coup, deviendra son mari. C’était une entrée fulgurante pour la jeune Abeti Masikini dans le royaume d’Orphée où elle allait imposer un style et créer un mythe au tour de son nom. Et plusieurs titres vont auréoler le cheminement artistique de cette chanteuse à la voix mélancolique à commencer par « Miwela », sa première œuvre sortie sur le marché en version 45 tours et qui sera suivie de « Likayabu », « Kizunguzungu » fête des jumeaux , « Abeti Visage » « Komboso », « Bifamuri ». En version long play, elle produira les albums « Sens unique », « Chéri Bade », « Je suis fâchée » qui lui ont permis de décrocher « Bébé Matoko » lancé dans les bacs en 1991.
Avec le concours de son propre orchestre baptisé « Les Redoutables », la tantine aux griffes d’or a été la première chanteuse du continent à affronter le 24 septembre 1988 le public hétérogène du Zénith à Paris sans oublier ses trois passages parisiens à l’Olympia.
Elle était la première chanteuse africaine à se produire de l’autre coté de l’Atlantique au « Carnegie Hall » de New York aux Etas-Unis.
A son actif on retiendra aussi une production du tonnerre qu’elle avait livrée en 1990 à Beijing en Chine. A l’occasion, il y a même une chanteuse chinoise qui, à ce jour, évolue sous le pseudonyme d’Abeti Masikini.
Toutefois, nous ne manquerons pas de signaler que c’était le 15 décembre 1990 que la compositrice de « Likayabu » avait livré son dernier concert devant une foule immense de kinois dans la salle des congrès du Palais du Peuple.
Mariée à Gérard Akueson comme nous l’avons dit tout au début, Abeti Masikini était mère de 4 enfants : Yolande Kiki Masikini, Bade Akueson, Saba Akueson et Germaine Masikini, sa fille adoptive. Cependant comme l’artiste ne meurt jamais et qu’on l’immortalise à travers ses œuvres, Tantine Abeti Masikini demeurera à jamais vivante parmi nous.
A l’instar de nombreuses chanteuses africaines dont la gabonaise Patience Dabani et la congolaise Mamu Nationale Tshala Mwana pour ne citer que celle-là, le continent continue à pérenniser le rythme chaud du groupe « Les redoutables » de la tantine aux griffes d’or.
Cela se manifeste à travers le tempo de leur rubrique. En cette journée de souvenir, nous ne pouvons que demander à l’Eternel de prêter une douce vie à Abeti Masikini dans le Royaume des Cieux.
La star congolaise Koffi Olomidé mis en examen en France pour viols

Trois anciennes danseuses et chanteuses du groupe de la star congolaise Koffi Olomidé ont déposé plainte contre lui en 2006 et 2008 pour viols et séquestrations. Après 3 heures d'interrogatoire lundi 13 février 2012, la juge d'instruction du tribunal de Nanterre a saisi le juge des libertés dans le but de placer le chanteur en détention provisoire. Mais il a choisi de rentrer à Kinshasa sans attendre la décision du magistrat. Pour Manuel Aeschlimann, l'avocat de Koffi Olomidé, le dossier d'accusation est vide et le retour au pays n'est pas une fuite.
Depuis le dépôt de la première plainte en 2006, Koffi Olomidé évitait la France. La mise en examen du chanteur lundi, après 3 heures d'interrogatoire face à la juge, va lui permettre d'avoir accès au dossier. Un dossier vide pour Manuel Aeschlimann, son avocat qui justifie aussi le départ d'Olomidé pour Kinshasa.
mercredi 2 mai 2012
MOHOMBI

Mohombi est né d'une mère suédoise et d'un père congolais. Mohombi a 14 frères et sœurs. Élevé au Congo, Mohombi et sa famille fuient le pays ravagé par la guerre pour Stockholm , en Suède en 1999, lorsque Mohombi avait 14 ans. Ses parents l'ont régulièrement exposés à des influences musicales variées de telle sorte que dès le début de son enfance, Mohombi a développé sa passion pour la chanson. Mohombi a étudié à l'école Pyramide de Puteaux Haute Rytmus à Stockholm et a fait ses débuts sur scène à 17 ans dans la production suédoise renaissance du culte spectacle Wild Side Story . Il a poursuivi ses études et obtenu son bac en musique et en chanson au Conservatoire de Musique de Stockholm . Il parle suédois , français , anglais , swahili et le lingala .
A Stockholm, Mohombi et son frère Djo Moupondo, un DJ local connu sous le nom DJ Djo, ont formé le groupe Avalon combinant la dancehall et le hip-hop de l'époque avec des battements distinctifs africains . De 2004 à 2008, le groupe a vendu plus d'un demi million de disques et gagné plusieurs Kora Awards , soit l'équivalent africain du Grammy Award pour la catégorie Meilleur Groupe - Diaspora Europe / Caraïbes catégorie, tandis que Mohombi est devenu un auteur-compositeur prolifique dans son propre droit. A ce point de la musique n'était qu'un emploi à temps partiel, et la recherche de quelque chose de plus lucratif a dirigé Mohombi à Los Angeles
SCANDALES ET POLEMIQUES : VOICI LES PHOTOS DE MEJE 30 LORS DE LA SOIRÉE ORGANISÉE PAR L'AMBASSADE DE LA R.D.CONGO A KAMPALA
Afin de calmer les esprits "patriotiques", voici les différentes séquences et images du concert de Tshala Mwana et son groupe ; concert qui a agrementé les invités au dîner diplomatique organisé par l’ambassadeur Charles Okoto à Kampala (Ouganda), le 24 août 2009. Au travers de cette soirée danssante, vous y identifierez Tshala Mwana et MJ 30 et leurs accoutrements du jour.
Comme vous venez de voir, au cours de cette soirée dansante, où étaient invités les différentes personalités politiques Ougandaises, les chefs des missions diplomatiques accrédités à Kampala et les représentants des organisations internationales, gouvernementales et/ou non gouvernementales, MJ 30 était vétue d’une longue robe de soirée.
Werrason, sa demande de collaboration refusée par Rihanna
Le roi de la foret Werrason aurait proposé 500.000 dollars à la délicieuse chanteuse Rihanna pour une collaboration artistique.
étonnamment celle-ci aurait décliné l'offre alors que la musique africaine prend de plus en plus d'ampleur aux USA et que l'on a
même vu l'ajout d'une catégorie 'Musique Africaine' cette année au BET Awards.
La demoiselle sait-elle seulement qu'elle vient de recalé l'un des chanteurs les plus plébiscité et du Congo et de l'Afrique même?
Jessy Kimbangi, mieux connu sous le nom de scène Jessy Matador, est un chanteur de coupé -décalé et danseur congolais.
Né le 27 octobre1982en France , d'origine de la République démocratique du Congo , Jessy Matador a grandi à Vanves dans les Hauts de Seine . Il entreprend très tôt une carrière de danseur en 2001[1]. Il intègre plus tard le groupe "Les Cœurs brisés" sous la direction de Dany Engobo avec qui il partira en tournée aux États-Unis , au Congo, en Grande-Bretagne , en Italie et au Canada .
En 2005, il décide de créerson propre groupe qu'il nomme "La Selesao" composé de Dr.Love & Linho ( alias Les Jumo) et Benkoff. Ils feront alors entre autres la première partie de Magic System . Fin 2007, ils signent chez Oyas Records puis au printemps 2008 chez Wagram Records.
Ilsort un premier single Décalé Gwada en juin 2008, devenant l'un des succès de cet été (14e des charts en France ). S'en suivra le 24 novembre 2008 la sortie de l'album Afrikan New Style , nom du nouveau style musical hybride qu'il présente et qui mêle des musiques aux influences africaines et antillaises avec des sonorités plus urbaines. On retrouve dans ce style du coupé-décalé, du zouk, du ndombolo, du kuduro mais aussi du dancehall ou du hip-hop . En décembre 2008 sort le deuxième single Mini Kawoulé (16e des charts en France). Dans la même année , sort le single Afrikan Free Style avec Anges d'Afrik.
Né le 27 octobre1982
En 2005, il décide de créer
Il
Le drapeau de la République Démocratique du Congo continue à flotter pendant tout ce temps du côté Est et Ouest du continent grâce à Fally Ipupa ambassadeur de la culture congolaise. En tournée, l’artiste, fait son bonhomme de chemin en défendant valablement sa musique teintée à la couleur de la rumba, identité du pays.
D’après son bureau installé sur place à Kinshasa, il a un calendrier très chargé avec des contrats de productions auxquels il est contraint d’honorer. Ce sont là les retombées du succès foudroyant de son best seller « Droit chemin » qui s’est bien comporté sur le marché du disque africain. Et également de son récent opus « Arsenal de belles mélodies » qui a ouvert des portes les portes à travers le monde.
D’après son bureau installé sur place à Kinshasa, il a un calendrier très chargé avec des contrats de productions auxquels il est contraint d’honorer. Ce sont là les retombées du succès foudroyant de son best seller « Droit chemin » qui s’est bien comporté sur le marché du disque africain. Et également de son récent opus « Arsenal de belles mélodies » qui a ouvert des portes les portes à travers le monde.
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